Le vieux port de Marseille

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Gino m’a fait découvrir Marseille et ses environs où j’ai pu apprécier des sites merveilleux,  dommage que le mistral soufflait souvent !

 

J’ai été rendre visite à mes deux tantes (sœurs de ma mère) et ma petite cousine Joelle (fille d’Aline), repas, restaurants, sorties, visites des monuments, baignade malgré le froid, j’ai aussi assisté à l’office du samedi à la synagogue où j’ai découvert un rite constantinois et promis en souvenir d’offrir comme don, une œuvre peinte par moi de RACHI.

 

La veille du départ, j’apprends que le vol de dimanche 8 mai, ne serait pas direct et fera escale à Tlemcen. Imaginez-vous traverser le détour, quelque neuf cent kms de détournement ! Enfin ! L’essentiel est de s’envoler pour l’Algérie le reste m’était égal.

 

Je reçois un coup de téléphone de l’agence de voyage qui me confirme la nouvelle et que le retour est prévu pour le 16 et non le 15 mai. Chouette, un jour de plus à Constantine ! Puis c’est le tour de Jeannine (Aziza) qui me fait part qu’elle a été victime du vol de son sac à main, heureusement il ne s’y trouvait que des médicaments ! Puis un autre coup de téléphone  de M. Bachtarzi (famille de Mme Adda de Troyes, employé de l’agence Aigle Azur) qui m’a assisté à l’embarquement.

 

La famille

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Ces beignets tout chauds 

 

                      

                                          

 

 

 

 

 

 

Les deux sœurs

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Le Dimanche 8 mai, le rendez-vous prévu à l’aéroport de Marseille nous a rassemblé et avons pu lier connaissance. (Certains se connaissaient déjà)

C’est ainsi qu’il s’y trouvait bien sur, mon cousin Edouard et Michèle son épouse (dont leurs déterminations étonnantes étaient sans équivoque) puis : M.Thérèse Carli, Maguy et Charles Pierrucci, Jeannine Nakache, Claude et Gisèle Floriot, Annie Floriot, Lucienne et Marcel Cadéo, Pierre Cadéo, et J.P. Floriot.

 

Pour nous tous, une grande émotion était  perceptible traduite de nervosité et de stress, et cela malgré les casse-croûtes avalés à l’aérogare.

 

Les formalités d’embarquement et l’attente ont été longs où avions nous l’impatience et la fébrilité de notre départ ?

 

Enfin, nous grimpions dans l’avion d’Aigle Azur dont l’affrètement est Espagnol. Cette fois, nous y sommes nous décollons vers mon pays que j’avais laissé comme la plupart de nous en 1962, 43 ans après.

 

Quelques minutes plus tard, au travers du hublot nous apercevions déjà les iles Espagnoles et les roues de notre airbus prirent contact avec le sol Tlemcénien !

Dommage que nous ne puissions pas sortir de l’avion j’aurai revu la région où j’ai effectué mon service militaire de 1960 à Mars 1962 et où j’ai connu Tlemcen, mais aussi toute la région d’Oran, Nemours, Marnia, Nedroma, etc…

 

PRECEDENT    SUIVANT