Ce qui m’a surpris dès notre sortie vers 8 heures trente, c’est une foule déjà assez dense qui fourmille d’abord sous les arcades de la rue Ro où certaines personnes se ruent chez le marchand de beignets en question, puis nous arrivons sur la place Lamoricière (place des martyrs) et je savais déjà que le Casino n’existait plus ainsi que la statue Lamoricière.

 

A la place du grand garage Citroën, c’est l’agence d’Air Algérie qui a pris le relais et derrière la maison de la culture.

Tout le long de notre progression notre ami Djamel nous expliquait le pourquoi des choses !

Et comme le dit si bien Serge nous abordons la vie Constantinoise actuelle, la surpopulation, la pauvreté, les traditions, la culture et son passé historique dramatique.

 

Avant de remonter la place Lamoricière en direction de la place de la brèche le long des deux squares où l’un d’eux a été supprimé celui qui comportait les vestiges Romaines transférées au musée, nous nous rendons au bureau de change pour transformer nos Euros en Dinars.

Une surprise qui s’avérait très intéressante et tournait à notre avantage financièrement. Deuxième élément de surprise, ce fut la découverte d’un désordre complet de la circulation urbaine (voitures, piétons, etc.) tout se mêlait les gens traversaient les artères n’importe où et n’importe comment ! les voitures se frayaient un chemin à la grâce de Dieu.

 

J.Michel montrant les musiciens du malouf

 

 

Rue Rohault de Fleury

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Dégustation des brochettes par Edouard et Michèle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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